Ces quatre panneaux constituaient, superposés deux par deux, les éléments latéraux d'un retable dont le centre était occupé par un Saint Georges combattant le dragon (Chicago, The Art Institute) et une scène (perdue) consacrée à la Vierge ou à la Crucifixion.
Plaque de saint Syméon
Cette grande plaque constitue un témoignage précieux sur le culte rendu aux saints stylites, qui pratiquent une forme d'ascétisme très répandue dans le bassin oriental de la Méditerranée.
Saint Benoît
Ce marbre, d'une étonnante vigueur plastique, est une sculpture siennoise du XIVe siècle de Tino di Camaino. C'est le premier chef-d'oeuvre de cet artiste à entrer dans les collections du Louvre.
Scaphè à oeilleton
Il existe plusieurs centaines de cadrans solaires antiques de formes diverses dont Vitruve, dans son traité d’architecture, dresse une sorte de catalogue.
Charles Joseph Crowle
Homme de loi britannique et amateur d'antiquités, Charles Joseph Crowle (1738-1811) représenta le « bourg » de Richmond à la Chambre des communes de 1769 à 1774.
Cratère en calice falisque
Adoptée tardivement en Etrurie, la technique des figures rouges n'y est qu'exceptionnellement attestée avant le début du IVe siècle av. J.-C.
Plaque à décor floral
Dans le monde islamique, les plaques à décor ajouré pouvaient servir de décor de porte, mais on ne peut exclure que certaines d'entre elles aient également servi de partie d'étendard de procession ('alam).
La Vierge et l'Enfant
La belle Madone de l'ancienne collection Duchâtel, entrée au Louvre sous le nom prestigieux de Piero della Francesca, est, en réalité, comme le démontra brillamment Berenson quelques mois après, l'oeuvre d'un peintre florentin de la même génération, Alesso Baldovinetti, dont Mme André...
L'Apparition du Christ à la Vierge
L’œuvre, vraisemblablement acquise par Victor Baltard à Rome lors de son séjour à la villa Médicis (1834-1838), appartient à la même série que deux tableaux figurant la Nativité et la Résurrection, aujourd’hui conservés à la Pinacothèque Vaticane et au Statens Museum for Kunst de Copenhague,...
Le Sommeil de saint Pierre
Effectuant l'essentiel de sa carrière dans son Tessin natal, région italophone faisant partie du territoire suisse et située à l'écart des grands foyers artistiques lombards du XVIIIe siècle, Petrini se rattache pourtant à cette dernière école.