Contenu dans un coffre en palissandre, le nécessaire comprend une chocolatière et son support, un réchaud, un moulin, un pot à crème, trois boîtes de différentes formes, une passoire, un entonnoir, une pince à sucre, un bougeoir, une sonnette, une petite pince, une grande cuiller à chocolat et...
Vase orné d'un combat de fauves et de serpents
Ce vase en pierre verte est décoré d'un léger relief et d'incrustations. La chlorite qui a servi à le tailler est une roche tendre dont les principaux gisements se trouvent dans la péninsule d'Oman et en Iran de l'Est.
Vase Hébert
Ce vase porte le témoignage des nouvelles techniques décoratives qui virent le jour à la manufacture de Sèvres, sous la direction de Jean-Jacques Bachelier. Sur un rare bleu « fallot » sont appliqués, par groupes de quatre, des petits points d'or qui créent un effet de lustre.
Ecuelle aux armes du Cardinal da Motta et son plateau
Lors de l'acquisition, en 1907, de la célèbre écuelle de Thomas Germain, la collection d'orfèvrerie civile française du Louvre, pour le XVIIIe siècle, était inexistante ; aussi faut-il souligner tout particulièrement l'importance de cet événement.
La Princesse de Bactriane
Cette petite sculpture, constituée de trois pièces emboîtées, est composée de deux pierres différentes : la chlorite pour la robe et les cheveux, un calcaire finn et blanc pour le cou et le visage.
Le Major James Lee Harvey en uniforme de Gordon Highlander
Sir Henry Raeburn est connu comme le plus grand portraitiste écossais, dont l'art ne s'est jamais, dit-on, mieux affirmé que dans les grands portraits d'homme en pied. Il fut en 1822 le premier artiste écossais anobli depuis la réunion des deux royaumes.